1966 (Paroles/Musique: F. Hardy) Surtout, restez comme je vous vois surtout, ne vous retournez pas pas cette fois de dos, tu ressembles à mon rêve je n'ai pas envie qu'il s'achève déjà c'est peut-être l'instant que je préfère le moment que, malgré tout, j'espère où tout pourrait basculer soudain où la vie pourrait changer, enfin alors, ne dis rien alors, ne fais rien mais je ne peux pas l'éviter bientôt, vous vous retournerez comme chaque fois vous ne saurez pas retenir ce rêve que je cherche à saisir comme chaque fois surtout, ne vous retournez pas surtout, ne vous retournez pas