La misère nous renvoie à quelque chose de statique. La Miséricorde, au contraire, nous invite à un mouvement. Pour relever l'homme blessé, il faut pouvoir prendre la corde pour descendre le rejoindre, tendre la main et l'aider à se relever. La Miséricorde a besoin de nos yeux pour mieux regarder, de nos voix pour encourager, de nos cœurs pour que l'autre soit aimé.