Notre album MULTICOLORE 3 est dispo partout : fanlink.to/Multicolore3 Un film de Robin Verdusen www.instagram.com/robin.verdusen/ Guest de luxe : Quentin Thiriau www.instagram.com/quentin_thiriau/ Prod : Shoka Mix/mastering : Dj Cerk www.instagram.com/dj.cerk/ Paroles (et références à retrouver) : Cette lumière n'a que frères, puisqu'elle vit dans des salles sombres, Et il m'arrive sans en être fier de prendre peur de ses pales ombres. Je suis un infiltré dans une boîte de chocolats Pas de bras, je ne sais sur quoi tomber, "coupé !", je laisse quelques Coppola. Seul au monde sur mon île, possible que je rêve d'elles, Ou d'ailes pour m'envoler et voir comme la vie est belle. Je songe à un fabuleux destin duquel resterait à part Dieu, Je compte les parrains un par un, j’écris mes rimes Depardieu. Mes images dansent en rythme dans une valse à trois, Ma vie est un film d’auteur craignant de tomber bien bas. Ne le dis à personne, j’attends encore ma lettre pour Poudlard, Si tu savais les larmes versées dans tant de petits mouchoirs. Arroseur arrosé je drague et rends pulpeuse la fiction, Je surfe sur la nouvelle vague d’une piscine qui fait ça Delon. Je joue à des jeux interdits, autant qu’à des jeux d’enfants Romantique en Rome antique, amours du futur et d’antan. Mon stylo est une arme fatale, je suis le pianiste des mots, Des baisers volés, des pétales dans des psychoses de héros. Parfois les étoiles font la guerre, n’y vois-tu pas un sombre cygne ? Loin d’un grand bleu à ciel ouvert j’ai vu la haine se montrer digne. Tournez, tournez avant que n’s’arrête le manège, L’écran de fumée cache un message. Tous les souhaits sont réalisables mais sache Que j’suis jamais seul sur mon siège. Tournez, tournez avant que n’s’arrête le manège, L’écran de fumée cache un message. Tous les souhaits sont réalisables mais sache Que j’suis jamais seul sur mon siège. Un cinquième élément vadrouille près de mon sixième sens en vain Images du septième art je bafouille jusqu’au huitième jour au moins. X histoires autres ? Ce scénario se découd, Même si je garde la tête haute, enfouie dans quatre cents cous. Je suis le discours d’un roi prononcé dans l’arène, Un club dans lequel on se bat, loin d’où Supertramp se promène. Pâle, je pars à l’ouest, terne, où file là cette vie, Belle allure des temps modernes ; Stalingrad - Philadelphie. J’aimerais être porté disparu mais dans un cercle de poètes Sous un masque qui tombe à nu, bel avatar qu’il me faut être ? Ma toupie tourne en rond, sans fin, Mesdames, Messieurs, Pourtant je suis fatigué patron, ai-je perdu mon précieux ? Entre nous cette petite distance, c’est mon premier court-métrage ; Là-haut un thriller est en partance, entre le rire et les larmes, la rage. Comédies, drames de flics comme Eddy, c’est-un art se pressant, J’retourne vers le futur-vu le temps passé à écrire ce présent. La musique comme le cinéma ; explosions de couleurs Quand il ou elle te frappe, tu n’ressens jamais la douleur. Ce poème, bancal, infirme, tant pis s'ils n'aiment pas. Je sais pas si ma vie est un film mais je me fais mon propre cinéma. Tournez, tournez avant que n’s’arrête le manège, L’écran de fumée cache un message. Tous les souhaits sont réalisables mais sache Que j’suis jamais seul sur mon siège. Tournez, tournez avant que n’s’arrête le manège, L’écran de fumée cache un message. Tous les souhaits sont réalisables mais sache Que j’suis jamais seul sur mon siège. Pour suivre : Seluj & Léon x Shoka www.instagram.com/selujetleonxshoka/ www.instagram.com/seluj.musique/ www.instagram.com/leon.musique/ www.instagram.com/shoka_music/ www.facebook.com/selujetleonmusique www.facebook.com/Schoenacker.L

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